Mise à jour du client HacKraft (pour Shettered Realm) contenant de nombreux bugfix par l’une des personnes du groupe de test. Pratiquement pas d’avancement sur Shattered Realm, hormis quelques nettoyages internes.
J’ai appris à faire des filets pour décorer des bulles de verre ou des bocaux, grâce à ce site. J’ai acheté une grosse bobine de cordelette bleu-gris et j’ai fait mon premier test sur un gros bocal, que j’ai posté sur les réseaux sociaux. J’aimerais faire des pots de fleur intérieurs ou des bougeoirs suspendus.
Aucune publication, très peu de production visible. Septembre a été dur ; octobre promet d’être chargé et également peu productif.
Ma motivation pour Shattered Realm a finalement cédé. C’est dommage, j’aurais aimé rajouter proprement le système de sauvegarde, modifier un peu le level design et mettre en place la première « quête » du Roi des Démons, avant de poser ce projet, pour y retourner dans une durée indéterminée. Malgré tout, il reste ma priorité, pour le côté jeux vidéo.
Je suis actuellement sur la rédaction d’un fragment crucial dans l’histoire du Jour des Cauchemars. Si tout ce passe bien, j’espère le numériser et le publier ce mois-ci. C’est un fragment qui parle du passé de Thyrio, et de ce qui a motivé, ou du moins déclenché son départ de Vembrume. C’est un fragment sale et brutal, pas particulièrement agréable à écrire. Pourtant, c’est parfois en regardant en face ce qui nous écœure et nous révolte que l’on trouve la force de changer les choses.
J’ai aussi dans mon carnet de notes un bout d’histoire qui traîne. Il faudrait que je le finisse et que je le numérise. C’est une toute petite histoire, pas vraiment une légende, presque une anecdote légendaire. Elle parle des divinités d’Azaroth (on y croise Tellur, Céleste et les autres). Elle parle d’Éréa, la divinité des transformations et de la sensualité. Je n’en dirai pas plus.
J’ai brièvement parlé d’Aédir, ce mois-ci. J’ai eu envie d’y retourner, de revoir cette ville creusée à l’intérieur d’une stalactite géante sous les mondes, de revoir ses jardins fongiques en corolles suspendues au-dessus du vide, et ses dryades blanches. J’ai le brouillon d’une première moitié du chapitre deux. Ce n’est pas ce que j’ai envie de raconter, dans l’immédiat. Peut-être que j’écrirais le troisième chapitre avant…
Je vous souhaite le calme après la tempête, un jardin où prendre racine, une clairière où vous tendre vers le ciel.
Je vous souhaite de trouver en vous et autour de vous le calme nécessaire au repos, le temps nécessaire à la régénération, l’humilité d’être à nouveau une toute petite pousse, et la patience de tout recommencer, comme au premier jour.
Je vous souhaite de guérir.